Problèmes de cohabitation - COHABITATION

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Problèmes de cohabitation

Cohabiter
Einstein disait « Pourquoi voudriez-vous qu’il y ait sur la Terre une multitude de vies ? Il n’y a qu’une vie qui, végétale, animale ou humaine, naît, rit, pleure, jouit, souffre et meurt. Une seule. Et c’est déjà bien assez merveilleux. »
« PRO » ET « ANTI » OURS... LA DIFFICILE COHABITATION EN ARIEGE
L’ours est là, et maintenant le loup, et il faut faire « avec », alors il est temps de S’ADAPTER ou de DISPARAITRE !
SI VOUS AVEZ DU MAL A ACCEPTER les choix des autres et si vous passez votre temps à essayer de convaincre des personnes de vos convictions et de leur raconter tout ce qui est bien ou pas bien pour eux, vous venez probablement de vivre un éveil spirituel.
LE PROBLEME C’EST QU’IL N’EXISTE PAS DE RACCOURCIS à l’éveil, et on ne peut pas forcer quelqu’un d’autre à prendre les « bonnes » décisions. Si vous insistez trop, vous risquez même de créer une aversion par rapport à tout ce que vous souhaitez partager chez les gens qui vous entourent. Si quelqu’un se sent attaqué dans ses convictions, si vous touchez à sa zone de « sécurité », il va se mettre en défensive et fermer son espace personnel. C’est une réaction naturelle chez la majorité des gens. Sans le vouloir vous risquez donc de bloquer la personne et de retarder son éveil. Le chemin vers l’évolution de soi et l’éveil est très personnel, et chaque personne le trace différemment.
PARFOIS QUELQU’UN DOIT SE PRENDRE UN MUR pour avoir une prise de conscience. Si vous l’empêcher de prendre le mur, il peut ne pas intégrer certaines leçons qui l’auraient aidé à rentrer dans sa mission de vie. En réalité vous lui rendez service.
SI VOUS INSISTEZ AUPRES D’UNE PERSONNE qu’elle accepte vos opinions, alors vous devenez juste un élément en plus qu’elle aura à se libérer. Puis, si vous cessez de prêcher la vérité vous vous libérez aussi : vous libérez toute l’énergie que vous mettez dans les autres et vous pouvez en faire quelque chose de constructif.
ALORS IL NE FAUT RIEN FAIRE DU TOUT ? Si, vous pouvez montrer avec vos choix de vie, qu’il y a d’autres choix qui se présentent aux gens que le spectre limité qu’ils apprennent via l’enseignement, l’éducation, les médias… Vous pouvez mener une vie qui est en cohérence avec vos valeurs, avec votre ressenti. Sans rentrer dans des discussions vous ferez réfléchir les gens et vous leur permettrez d’arriver eux-mêmes à certaines prises de conscience. Ils viendront vous trouver quand ils seront prêts à entendre ce que vous avez déjà intégré. Tout en douceur vous pouvez ainsi devenir un vrai catalyseur de changement et d’éveil.
Dans les Pyrénées, le débat entre « pro » et « anti » ours oppose les habitants depuis que l’Etat a réintroduit le prédateur dans les années 90. Entre partisans de la biodiversité et acteurs du territoire qui se sentent menacés, le dialogue est rompu.
Voici une explication un peu détournée, pour comprendre que sans les animaux, le monde ne serait pas humain. Nous sommes responsables de ce qu’il y a dans notre assiette, nous devons assumer ce que nous mangeons. La mort n’est rien, elle n’est qu’un changement d’état. On explique que les animaux sont le lest qu’a jeté l’homme lorsqu’il a senti qu’il était obligé de s’incarner. Imaginez une nacelle contenant l’humanité qui dégringole. Elle sait qu’elle va tomber dans un corps de chair qui n’est pas du tout fait pour elle. A ce moment-là, elle se comporte comme le ferait un homme à bord d’un ballon dirigeable qui descendrait à toute vitesse : il jette par-dessus bord le maximum de lest pour ne pas s’écraser au sol.
C’est ainsi que l’homme a rejeté les animaux qui représentent ses passions non maîtrisées. Le cosmique n’acceptera jamais que l’humanité remonte sans avoir récupéré ses « déchets ». Il faut donc transmuter nos consciences, ce qui se produit à l’heure actuelle au niveau planétaire par le respect profond de l’environnement, de la Terre, de l’animal et des autres êtres qui peuplent la Terre, dont on sait qu’elle est un être vivant. L’hypothèse Gaïa n’est plus une hypothèse à l’heure actuelle. Alors se développe un sentiment de compassion (qui veut dire « souffrir avec ») qui fait qu’on accepte d’amener l’animal dans notre remontée, par amour, au vrai sens du terme.
Pour le matérialiste, celui qui ne veut pas, qui ne croit pas à tout cela, le cosmique a prévu la solution... Il les mange. En les mangeant, il les assume, d’où cette souffrance que l’humanité est obligée de vivre et qui n’est pas près de se terminer. Quel doit être notre comportement ? Respecter, ne pas juger et aimer sans conditions. Si nous voulons être respecté, aimé, nous devons respecter, aimer. Mais aimer « tout ». Le pauvre animal qui est là pour nous aider, est là pour nous parler de l’Unité. Par exemple : on sait que les baleines sont là pour aider la terre dans sa mutation. Puisque la terre a besoin d'être aidée par des psychismes, voyez ce qu'on leur fait !... Ici, sans jugement, juste une appréciation : voyez ce qui est arrivé à Fukushima... (Les tueurs de baleines !...)
Ariège 20 novembre 2021 – Un chasseur tue une ourse suitée de 2 oursons.
Et l’histoire se répète ! Melba avait été tuée lors d’une battue au sanglier. Elle était à l’époque accompagnée de ses 2 oursons Caramelles et Boutxy. C’est maintenant Caramelles qui fait les frais du loisir qui se nomme la chasse. Et l’on entend souvent que la chasse est un sport ! Mais dans le sport ce sont les 2 équipes qui veulent jouer ensemble, non ? (à méditer). La chasse est un loisir éthiquement inadmissible, une négation des valeurs de notre société. La chasse est la négation du caractère sensible de l’animal. Reste maintenant 2 oursons de 8 mois, orphelins qui ont une infime chance de passer l’hiver 2021-2022…
La chasse et la pêche sont pratiquées par bien des peuples pour survivre. Lorsque ce n'est pas le cas, elles sont rangées dans la catégorie des « divertissements sportifs ». Que les hommes préhistoriques aient eu besoin de tuer des animaux, c'est évident. Actuellement, les Esquimaux tuent des phoques, les Bushmen des girafes, c'est nécessaire pour eux. Ils n'ont pas le choix. Mais ailleurs, c'est totalement anachronique. On ne chasse plus ici ni pour se défendre, ni pour se nourrir. On chasse pour s'amuser.
Les chasseurs des pays nantis consomment la plupart de leurs proies, mais ils ont rarement besoin de cet apport pour survivre. De plus, les motivations déclarées des chasseurs ne citent pas la recherche de nourriture, mais le contact avec la nature (99 %), la convivialité (93 %) et l'entretien des territoires (89 %) autant de buts louables en eux-mêmes, MAIS QUI NE NECESSITENT NULLEMENT L’USAGE D’UN FUSIL.
Puisque la physique quantique nous donne une approche totalement nouvelle de ce qu’est l’univers, au travers des particules qui le composent, nous devons revoir d’urgence notre conception du monde, surtout celle de cet « être énigmatique qu’est l’HOMME ». Et ceci débouche sur une vision du monde dans laquelle l’homme n’aurait pas du tout le rôle qu’il s’est attribué (destruction, domination, prédation, exploitation, etc.). Sa responsabilité dans la gestion de la Terre et de ses habitants est écrasante, ce que nous pouvons constater aujourd’hui n’étant que la conséquence du principe d’action réaction qui régit le monde.
Cette gestion aujourd’hui est plus que médiévale. Elle est le signe de l’impuissance de certains scientifiques et dirigeants à intégrer une dimension holistique, c’est-à-dire globale, qui prend en compte la totalité de l’approche du vivant.
PYRENEES, MONGOLIE… MEME COMBAT… ETERNEL PROBLEME !
Directeur de la zone protégée de la Taïga rouge en Mongolie, Tumursukh s’est donné pour mission de veiller à la préservation des espaces naturels comme des animaux sauvages, en convertissant des anciens chasseurs en Gardiens de la Forêt. Une lente évolution des mentalités soudain compromise par l’intrusion d’une famille d’ours dans un village …
Message de l'Ours
Message de l'ours : Je suis fait de la même poussière que toi, je respire aux mêmes vents, et je bois la même eau, alors, où est le problème ?
Et l’ours dans tout ça ? La cohabitation entre l’ours et l’homme est-elle possible ?
Avant, il y avait un seul utilisateur : l’éleveur-berger. Maintenant il y a l’éleveur propriétaire des animaux, le pâtre de plus en plus souvent simple salarié, le chasseur quelque fois citadin, les différentes formes de tourisme, les différentes catégories de « techniciens » aux conceptions plus ou moins floues concernant les pratiques environnementales de gestion de l’espace, les écologistes plus ou moins intégristes, etc…
En guise de conclusion provisoire, quelques questions : un vrai débat est-il possible ? A-t-il jamais eu lieu ? C’est de concertation dont on manque le plus. J’espère que ces quelques lignes feront progresser la réflexion, que l'on arrivera un jour à réunir de façon positive les naturalistes, les pastoraux, les représentants de l'Etat, les politiques... et que les rêves commenceront à s'ancrer dans une réalité acceptable pour tous.
Reste à résoudre le fossé qui existe entre la position des politiques, des écologistes, des éleveurs ou des pâtres. L'ours dans cette affaire n'est-il pas le symbole, la "goutte qui fait déborder le vase" des multiples problèmes qui se posent aux éleveurs montagnards : désertification, chute régulière des cours, mondialisation, évolution productiviste de l'agriculture qui entraînent un mal vivre dans les vallées, perte de culture, de références, assistance, primes diverses générant un sentiment de frustration sinon de culpabilité.
L’ours n’est pour rien dans tout cela ! Alors que faire sinon composer, tenter de s'adapter ? Je ne vois pas ce que les éleveurs anti… ours, lynx, loups, vautours, écolos bobos, et j’en passe, gagneront à se marginaliser encore plus.
Communiqué de presse de CAP Ours, mardi 30 novembre 2021
Mort d’une ourse dans les Pyrénées :
Infractions à la loi et imprudences à l’origine des blessures du chasseur et de la destruction d’une ourse, espèce protégée
Samedi 20 novembre 2021 une battue se déroulant au moins partiellement, sans autorisation, dans la réserve de chasse et de faune sauvage du mont Valier, Ariège, a abouti à des blessures sérieuses pour un chasseur et à la mort d’une ourse suitée prise dans la battue.
L’homme est depuis hors de danger, l’ourse est morte, et deux oursons se retrouvent orphelins à l’entrée de l’hiver. Ils ont une chance raisonnable de survivre à la condition qu’on assure leur tranquillité jusqu’à leur entrée en tanière, ce qui ne saurait tarder au vu des conditions météorologiques.
Le parquet de Foix a lancé une enquête. Il semblerait que les faits se soient produits dans la réserve où certains chasseurs étaient postés ce jour-là sans l’autorisation ni l’encadrement obligatoire de l’ONF, en cas de dérogation à l’interdiction de chasse.
En effet, l’Arrêté préfectoral relatif à l’ouverture et à la clôture de la chasse pour la campagne 2021-2022 dans le département de l’Ariège autorise la chasse au sanglier tous les jours dans cette Réserve mais pas à n’importe quelle condition ! Seul l’Office National des Forêts est autorisé à organiser, avec les chasseurs locaux, des battues au sanglier dans cette réserve du 1/09/2021 au 13/02/2022.
Il était par ailleurs connu localement qu’une ourse au moins était présente cet automne dans cette vallée avec ses petits, ce qui aurait dû conduire l’équipe de chasse à une pratique d’autant plus prudente et responsable comme indiqué dans l’arrêté préfectoral précisant les mesures de prévention et de protection de l’ours en matière de chasse.
Ces manquements ont incontestablement influé sur les faits dont le déroulement reste par ailleurs à déterminer précisément. Dans le contexte de cette battue, l’ourse suitée aurait cherché à protéger ses deux oursons, ce qui lui aurait été fatal. Sa destruction constitue un délit grave.
Le Président de la Fédération Nationale des Chasseurs, Willy Schraen, a depuis reconnu lui-même dans le 13/14 heures sur France Inter le 23 novembre que « La cohabitation avec l’ours est possible … n'importe quel animal va défendre ses petits. L'ourse était sur son territoire... ».
Nos associations de la coordination Cap Ours demandent que les responsables de cet accident, directs et indirects, soient identifiés et mis devant leurs responsabilités ou manquements.
Tout le monde ayant intérêt à éviter la reproduction de pareille situation, l’ensemble des acteurs doit maintenant travailler à améliorer sérieusement  les modalités de cohabitation entre chasseurs et ours dans les Pyrénées.
Les chasseurs, en ce qui concerne cette affaire, devraient se mettre « dans la peau de l’ours » pour créer une possibilité de rencontre et de connaissance.
Mais pourquoi choisir un ours, mais cela aurait pu être un enfant, un homme, un caillou ou un nuage.
Pourquoi l’animal ? Parce que c’est une figure riche et inspirante aujourd’hui pour penser l’altérité. En me documentant, j’ai pris conscience que les animaux étaient des blocs de vie, de chair et de sang, qui ressentent la douleur, le froid et la faim.
Au fond, on a créé des catégories entre les animaux compagnons, ceux créés par l’homme pour se nourrir, et les bêtes sauvages, pour s’arranger avec la réalité. Revenir à une vision vitaliste et concrète de l’animal nous aiderait à les regarder un peu plus comme nos égaux.
Quant à la pensée cohérente de certains chasseurs, l’intelligence, cet outil que l’évolution nous a conféré, peut nous servir à construire comme à détruire. C’est une responsabilité immense, qui exige aujourd’hui d’élargir notre sentiment de considération aux animaux et aux générations futures.
L’avenir des relations entre les ours et les hommes : Et chaque génération demandera à son tour : où est donc passé le bel ours brun ? Ce sera dommage de devoir répondre qu’il a succombé pendant que les protecteurs de la nature avaient le dos tourné !!!
Il est temps de reconnaître que les animaux ne sont pas des moyens pour nos fins. Ils n’ont pas été placés sur Terre pour nous servir, nous nourrir ou nous réconforter. Ils ont au contraire leur propre existence subjective, et donc leurs propres droits égaux et inviolables à la vie et à la liberté, ce qui interdit de leur faire du mal, de les tuer, de les emprisonner, de les posséder et de les mettre en esclavage.
Qu’est-ce que l’homme aurait, lui, à gagner à la fin de l’exploitation des animaux ?
Une cohérence éthique. La civilisation consiste à passer de la barbarie à l’humanité, de l’esclavagisme à la liberté individuelle, du cannibalisme au respect de l’autre, mais aussi de l’exploitation sans limite des animaux au respect de tous les êtres sensibles.
L'HOMME ET L'ANIMAL : QUI EST LE MAITRE ?
Singulière question par les temps qui courent ! La réponse est hélas claire, l'homme devrait être le maître incontestable, mais il est un maître dégénéré... En dehors de quelques systèmes philosophiques qui prônent le respect de toute vie et en reconnaît l'égalité, l'animal est devenu pour notre société, la victime désignée.
Nos sociétés, dites civilisées, pratiquent en fait le retour à la barbarie avec la bénédiction de nombreux acteurs et des politiques de tous bords... A cause d'une inculture généralisée, soigneusement entretenue, l'on considère l'animal comme un objet que l'homme peut utiliser à sa guise et cela sur tous les plans possibles : nourriture, amusement (cirques, zoo), appât du gain, (courses, corridas) sport (chasse, concours hippiques), expérimentation animale sous toutes ses formes (recherche scientifique, cosmétiques, médicaments, produits ménagers, armée, agro-alimentaire, etc.), habillement, (vêtements cuir, fourrures : c'est une peau qui change de bête ! Et se vêtir avec les vibrations d'un animal sauvage ou autre... Quelle ignorance, qu'elle indécence)
Voici une liste, hélas non exhaustive, dans laquelle l'animal est privé de dignité et où il est généralement torturé avec la bénédiction de ceux qui devraient nous informer et nous apprendre à les respecter en tant qu'habitants de la planète au même titre que nous.
Ne juge-t-on pas le degré d'évolution d'une civilisation à la manière dont elle traite les animaux ?
Si ces quelques réflexions et mises au point étaient reçues favorablement et incitaient quelques humains, à transformer leur vision des choses et donc leur comportement, tous les espoirs seraient permis, l'atmosphère de la terre serait un peu plus respirable et l'avenir de l'humanité un peu moins effrayant !
Si nous savions tirer les leçons que nous offrent à chaque instant la nature et les animaux, nous ne pourrions que les admirer pour leur beauté, leur pureté, leur sincérité, leur noblesse, leur grandeur d'âme, ainsi nous ne pourrions que les aimer et les respecter pour leur perfection et leur qualité d'être... Ils méritent toute notre attention, tous nos soins, notre amour, surtout notre respect sous toutes ses formes, sans distinction de race, de taille, de couleur... ni d'utilité reconnue ou non...
Puisque nous leur devons la vie, sachons rendre la leur plus joyeuse, confortable et les "élever" vers nous, dans le sens de l'évolution. Ne dit-on pas de certains animaux qu'ils ont "un regard humain" ? "Qu'il ne leur manque que la parole " ? Gardons nos yeux d'enfants pour les regarder avec tendresse et admiration : nous ne serons jamais déçus
NOUS SOMMES UNE PART DE LA NATURE. Mais nous sommes vides d'un soi séparé, indépendant. Nous ne pouvons pas exister par nous-mêmes. Nous ne pouvons qu'inter-être avec tout le reste dans le cosmos. Le vide ne veut pas dire la non-existence. Cela signifie la production conditionnée, ou les origines interdépendantes, l'impermanence et le non-soi. Le vide est la voie du milieu entre l'existant et le non existant.
Le photographe chasseur ne devient pas vide lorsqu'il meurt. Il est déjà vide dans son essence. Avec le regard profond, nous voyons que le photographe est fait d'éléments non-photographe : la lumière, les nuages, la terre et la conscience. Il est vide d'un soi séparé et autonome.
Il est dit que les êtres humains ne sont pas séparés des autres espèces, c'est pourquoi pour protéger les humains il faut protéger les espèces non humaines. Et en polluant l'eau ou la terre, les végétaux et les minéraux, nous nous détruisons nous-mêmes.
Nous devons apprendre à nous voir dans des choses que nous pensions extérieures à nous-mêmes afin de dissoudre les fausses frontières.
Bien que nous soyons si nombreux sur cette terre, chacun de nous ne voit que lui-même. Nous dépendons des autres pour nous nourrir, nous vêtir, trouver une place dans la société, devenir célèbre, etc… et pourtant nous considérons comme des ennemis ces gens auxquels nous sommes si étroitement lié. Est-ce qu’il n’y a pas là une étonnante contradiction ?
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